Concerts de metal et déguisements d’Halloween : ne tiendrait-on pas l’ultime combo ? Pour l’occasion, nous invitons trois groupes de la scène metal régionale : Enderr, Cure For The Ghost et Seven Years of Misfortune… Ça promet d’être spooky !

Enderr

Deathcore / Annecy

Enderr propose des compositions s’inspirant parfois dans des références brutales, parfois mélodiques, et qui sauront ravir les fans de métal moderne, telles que Thy Art Is Murder, As I Lay Dying, Gojira, August Burns Red, Whitechapel, All Shall Perish pour ne citer qu’eux… Des morceaux énergiques, destructeurs et mélodieux saupoudrés d’un chant guttural, des rythmes remplis de doubles croches, de blasts bien placés et de la double pédale à s’en décrocher les cervicales, Enderr va vous embarquer dans son univers entre rêve et chaos, et saura vous réveiller ! On vous aura prévenus !

Cure For The Ghost

Modern metal / France

Bienvenue dans l’univers envoûtant de Cure for the Ghost. Laissez-vous guider dans un monde de métal moderne aux sonorités électro qui vous transporteront vers de nouveaux horizons musicaux. Inspiré par des groupes tels que Bad Omens et I Prevail, le groupe fusionne l’intensité du métal avec des éléments électroniques pour créer une identité sonore unique. Cure For the Ghost est taillé pour le live, offrant une énergie brute et des performances captivantes à chaque concert. Vivez cette expérience alors que la formation explore les frontières de la musique métal et repousse les limites de l’innovation sonore. Suivez le Ghost jusqu’au au point de non retour – là où le métal rencontre l’électro – vous n’en reviendrez pas indemnes.

Seven Years of Misfortune

Metal hardcore / Contamine-sur-Arve

Tout le monde sait qu’il ne vaut mieux pas être superstitieux, ça porte malheur… Seven Years of Misfortune, c’est un peu le groupe all-stars du metal franco-suisse (région lémanique of course). Initié en 2020 par des membres d’Hybrid Sheep et Buried Side, SYOM boxe dans la catégorie hardcore, avec une bonne couche métaux lourds en plus. Ces bêtes de scène n’ont pas attendu pour écumer assidument les salles et les clubs alplins. Avec, entre autres faits d’armes, des premières parties avec Suicide Silence, AqME et LANDMVRKS. Après un premier album de douze titres qui fleure bon The Acacia Strain, Emmure ou encore Heart Of A Coward, les cinq garçons finalisent actuellement un nouvel EP. Un projet local axé sur la bagarre comme on les aime. Qui donne envie de bordéliser le pit dans la rage, mais surtout, la bonne humeur.